Depuis sa refondation en2007, la province se développe rapidement. Elle maintient toujours unecroissance annuelle stable de 14,1 % et regroupe plus d'un millier deprojets d'investissement vietnamiens et étrangers totalisant un fonds deprès de 10 milliards de dollars.
La province disposemaintenant de 15 zones industrielles couvrant une superficie totale de6.847 hectares. Parmi elles, neuf sont opérationnelles, avec près de130.000 emplois.
Ces derniers temps, de nombreux groupessud-coréens sont venus placer des capitaux à Bac Ninh comme Samsung,Canon, ABB, Nokia... L 'électronique et les télécommunicationsconstituent le terrain le plus prometteur, attirant 180 entreprises avecun investissement total de plus de 3,8 milliards de dollars et plus de87.000 travailleurs.
En fait, Bac Ninh attire trois grands investisseurs pour ces domaines que sont Samsung, Nokia et Canon.
Après cinq ans d'activités, le projet Samsung Electronics Vietnamconstitue un grand succès de Bac Ninh dans le développement industriel.Samsung a débloqué 1,1 milliard de dollars des 1,5 milliard de dollarsinvestis. Le solde restant sera décaissé cette année.
Deplus, en juin dernier, Samsung a demandé d'augmenter ses fonds d'unmilliard de dollars supplémentaires, afin de les porter, à Bac Ninh, à2,5 milliards de dollars. En 2012, Samsung Electronics Vietnam a réaliséune recette totale de 13 milliards de dollars et cette année, cechiffre pourrait atteindre 16 milliards de dollars.
Canon, pour sa part, investit massivement dans les deux ZI de Tiên Son et de Quê Vo.
L'attractivité actuelle de la province résulte de la réforme desformalités administratives, de la création d'un environnementd'investissement favorable, ainsi que de l'application des politiquesd'assistance aux investisseurs . Une tendance qui devrait sepoursuivre. -VNA
Le Vietnam surmonte les obstacles réglementaires pour l’essor des renouvelables
Les ambitions du Vietnam en matière d’énergies renouvelables s’appuient sur un cadre politique solide. La Résolution 70 du Bureau politique vise à garantir la sécurité énergétique nationale jusqu’en 2030, avec une vision s’étendant jusqu’en 2045, visant une capacité électrique de 183 à 236 gigawatts d’ici 2030, potentiellement supérieure en fonction de la demande.
