Augmentation de la puissance de la station de transformateur d'O Mon

La puissance de la station de transformateur de 500 kV d'O Mon à Can Tho (Sud) sera portée de 1.050 à 1.500 MVA en 2015.

La puissance de la station de transformateur de 500 kV d'O Mon à Can Tho (Sud) sera portée de 1.050 à 1.500 MVA en 2015.

D'un investissement total de plus de 228,1 milliards de dongs (10,9millions de dollars), la station de transformateur de 500 kV d'O Mon aété mise en chantier le 6 mars 2015 et raccordé le 24 mai dernier auréseau électrique, 37 jours plus tôt que prévu. Elle a déjà rapporté unbénéfice de 54 milliards de dongs au groupe Electricité du Vietnam(EVN), a informé Nguyen Xuan Hoa, directeur adjoint de la compagnie detransport d'électricité 4.

Elle a fourni plus de 295,6 millions de kWh aux provinces du Nam Bo occidental.

Selon Mai Duc Chinh, vice-président de la Confédération générale duTravail du Vietnam, ce projet revêt une grande signification en matièreéconomique et politique pour le Nam Bo occidental. L'augmentation de lapuissance de la station assurera la fourniture d'électricité pour cetterégion et le Cambodge voisin. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.