Au chevet des enfants touchés par la COVID-19

Le Fonds de protection des enfants du Vietnam a accordé une aide de 7,78 milliards de dôngs (342.572 dollars) aux enfants devenus orphelins à cause de l’épidémie de COVID-19.
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Photo d'illustration
Hanoï (VNA) - Le Fonds deprotection des enfants du Vietnam a accordé une aide de 7,78 milliards de dôngs(342.572 dollars) aux enfants devenus orphelins à cause de l’épidémie deCOVID-19, et de plus de 7 milliards de dôngs (308.263 dollars) en espèces et ennature à 12.800 autres enfants touchés par la pandémie.

Dans les temps à venir, ceFonds se coordonnera avec les Services du Travail, des Invalides et desAffaires sociales des villes et provinces pour aider les orphelins, avec uneaide de 5 millions de dôngs pour chaque enfant ayant perdu l’un de ses deuxparents, et de 20 millions de dôngs pour chaque enfant ayant perdu ses deuxparents.

En principe, d'ici findécembre, 2.500 enfants devenus orphelins en raison de l’épidémie recevront unsoutien d'un montant total de plus de 14 milliards de dôngs.-VOV/VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.