Une route d’amitié relie Xiengkhouang à Nghê An

Au moins 40% des travaux de construction de la route d’amitié reliant Xiengkhouang (Laos) à Nghê An (Vietnam), débutés le 22 mars dernier, ont été achevés, a rapporté responsable des travaux cité par l’Agence de presse lao (KPL).
Au moins 40% des travaux de construction de la route d’amitié reliant Xiengkhouang (Laos) à Nghê An (Vietnam), débutés le 22 mars dernier, ont été achevés, a rapporté responsable des travaux cité par l’Agence de presse lao (KPL).

Deux sociétés de construction entreprennent la construction de cette route. Les deux premiers tronçons d’un coût total de 15.400 millions de kips sont entrepris par la société Daophouan, et le dernier d’un coût de 4.800 millions de kips, est assuré par la société Somchanh.

Une fois ouverte au trafic, cette route facilitera non seulement le transport de marchandises et le va-et-vient des habitants des deux pays notamment entre Xiengkhouang et Nghê An mais aussi dynamisera le développement de ces deux provinces limitrophes.

Cet ouvrage vise à marquer les 50 ans de l’établissement des relations diplomatiques entre le Laos et le Vietnam et les 35 ans de la signature du Traité d’amitié et de coopération entre ces deux pays. – AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

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Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.