Une dizaine de milliers de personnes ontparticipé dimanche, à Hanoi, à une marche en l'honneur des 50 années dela tragédie de l'agent orange au Vietnam ainsi qu'à la cérémonie delancement du ''mois d'action pour les victimes de l'agent orange'' quidurera du 10 août au 10 septembre.
Le programme a été organisé par le comité central de la Croix-Rouge duVietnam, de concert avec plusieurs organisations et organes vietnamienset internationaux, avec le slogan "Soins de santé et amélioration desconditions de vie des victimes de l'agent orange".
Lorsde la cérémonie, Mme Truong Thi Mai, présidente du Comité des Affairessociales de l'Assemblée nationale, et Tran Ngoc Tang, président de laCroix-Rouge du Vietnam, ont offert des bourses d'études à des enfantsde ces victimes, ainsi que des fauteuils roulants à des victimes del'agent orange de Hanoi.
Des dons de sang ont été lancésau service des victimes de l'agent orange. La Croix-Rouge du Vietnamn'a pas manqué cette occasion pour appeler les organisations,entreprises et individus à faire des dons en argent et en nature enfaveur des victimes.
Une exposition de photos portantsur la vie des victimes et les activités d'aide sociales en leur faveurs'est ouverte lors de la cérémonie.
A Tokyo,l'ambassadeur du Vietnam au Japon, Nguyen Phu Binh, a lancé samedi unappel à la communauté des Vietnamiens vivant dans ce pays à veniractivement en aide aux victimes vietnamiennes de l'agent orange pourmarquer cette Journée de l'agent orange (10 août).
L'ambassadeur, le personnel de l'ambassade du Vietnam au Japon, desreprésentants des bureaux de représentation du Vietnam, des stagiaireset d'autres Vietnamiens vivant dans ce pays ont collecté de l'argent auprofit de leurs compatriotes touchés par l'agent orange.-AVI
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).