Les manifestants vont se retirer detous les sites qu'ils ont occupés ces derniers temps, à l'exception duparc Lumpini au centre de la capitale où seront menées les activités dumouvement anti-gouvernemental, a-t-il annoncé.
Le retraitdes sites ne signifie pas pour autant l'abandon de l'objectif d'obligerla Première ministre Yingluck Shinawatra à démissionner. Lesmanifestants continueront de paralyser les activités des bureaux dugouvernement ainsi que des entreprises de la famille de Shinawatra.
La tension en Thaïlande est retombée après que Suthep Thaugsuban ademandé le 27 février un dialogue avec la Première ministre Shinawatra, àcondition que la rencontre soit retransmise en direct à la télévision.
La chef du gouvernement intérimaire a accepté la demande,tout en exigeant que les manifestants respectent la Constitution,mettent fin aux manifestations et facilitent l'achèvement des élections.
Auparavant, le 26 février, le secrétaire général del'ONU Ban Ki-moon a appelé les parties concernées en Thaïlande às'asseoir autour de la table des négociations pour mettre fin à la crisepolitique actuelle et accélérer la réforme. Selon lui, l'ONU est prête àaider les parties concernées et le peuple thaïlandais à traverser cettecrise. -VNA
L'ASEAN et la Chine intensifient leur coordination contre la cybercriminalité transnationale
Une conférence ministérielle sur la lutte contre la cybercriminalité et la fraude aux télécommunications a réuni le 14 novembre à Kunming, dans la province chinoise du Yunnan, des représentants de la Chine, du Cambodge, du Laos, du Myanmar, de la Thaïlande et du Vietnam.