Site web sur les Vietnamiens en Côte d'Ivoire

 Le ministère des Affaires étrangères (AE) a proposé aux organes, aux organisations ainsi qu'aux individus qui ont des proches vivant et travaillant en Côte d'Ivoire de consulter le site: http://www.lanhsuvietnam.gov.vn .

 Le ministère des Affaires étrangères (AE) aproposé aux organes, aux organisations ainsi qu'aux individus qui ontdes proches vivant et travaillant en Côte d'Ivoire de consulter lesite: http://www.lanhsuvietnam.gov.vn .
Ils peuvent aussi se rendre au Département des Affaires consulaires duministère des AE, 40 rue de Tran Phu, Hanoi; ou téléphoner au04.3.8430.470 ou par fax: 04.3.8236.928.

Après avoirreçu une note de l'ambassade du Vietnam au Maroc, l'ambassade de Franceà Abidjian (Côte d'Ivoire) a téléphoné à tous les membres de ladiaspora vietnamienne vivant dans cette région pour les protéger et lesamener dans la zone sécurisée, a-t-on appris samedi du ministère desAE.

L'engagement de la France a permis de rassurer lescitoyens vietnamiens dans ce pays où la situation se calme peu à peu,sous la surveillance de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire(ONUCI). -AVI

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.