Séminaire sur l'éducation bouddhique au Vietnam

Un séminaire intitulé "Education bouddhique du Vietnam : Orientations et Développement" a eu lieu mercredi à Hanoi, évaluant l'histoire et l'éducation du bouddhisme ainsi que les moyens dont elle dispose pour poursuivre ce travail d'éducation dans le nouveau contexte.
Un séminaire intitulé"Education bouddhique du Vietnam : Orientations et Développement" a eulieu mercredi à Hanoi, évaluant l'histoire et l'éducation du bouddhismeainsi que les moyens dont elle dispose pour poursuivre ce travaild'éducation dans le nouveau contexte.

Les participants ont discuté de l'éducation et de l'éducation bouddhique dans ses relations avec le développement social et celui de l'Eglise bouddhique du Vietnam (EBV), de l'orientation professionnelle et de l'édification du futur de plusieurs générations.

Depuis sa fondation, l'EBV considère toujours l'éducation des bonzes et bonzesses comme l'une de ses activités importantes.

Elle a formé des dizaines de milliers de bonzes et bonzesses dans quatre Instituts d'études bouddhiques ainsi qu'une centaine d'établissements d'éducation bouddhique dans l'ensemble du pays. -AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.