Renforcement de l’exécution de la propriété intellectuelle au Vietnam

Renforcement de l’exécution des droits la propriété intellectuelle au Vietnam

L'Institut national de la culture et de l'art du Vietnam (VICAS) et le Conseil privé du Royaume-Uni ont présenté le projet visant à promouvoir la mise en œuvre des droits de propriété intellectuelle.

Hanoi (VNA) - L'Institut national de la culture et de l'art du Vietnam (VICAS) et le Conseil privé du Royaume-Uni ont présenté le projet visant à promouvoir la mise en œuvre des droits de propriété intellectuelle sur le sol vietnamien.

Plus précisément, le programme créera des opportunités pour le développement des secteurs de la culture, de l'art et de la création, tout en offrant des avantages socio-économiques et culturels aux artistes, créateurs, auditeurs et utilisateurs de services culturels dans le pays.

Il sera officiellement déployé d'octobre 2020 à septembre 2021 avec l'implication de l'administration publique sur la propriété intellectuelle, des artistes et créateurs vietnamiens.

Le projet sera réalisé avec l'aide du Fonds international pour la diversité culturelle. - VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.