Prudential Vietnam finance des opérations d'enfants malvoyants

La compagnie d’assurance-vie Prudential Vietnam accordera plus de 600 millions de dôngs, soit près de 30.000 dollars, à un programme de soins ophtalmologiques gratuits au profit de 200 enfants malvoyants.
La compagnied’assurance-vie Prudential Vietnam accordera plus de 600 millions dedôngs, soit près de 30.000 dollars, à un programme de soinsophtalmologiques gratuits au profit de 200 enfants malvoyants.

Intitulé "Pour les yeux des enfants 2014", ce programme du Fondsnational pour les enfants, financera des opérations chirurgicales de 200enfants des provinces du Nord et de la région septentrionale du Centredu Vietnam à l’Hôpital central d’ophtalmologie, l’Hôpitald’ophtalmologie de Hanoi, ainsi que dans plusieurs hôpitaux provinciaux.

En outre, 1.200 enfants originaires des quatre provincesde Vinh Phuc, Thai Nguyen, Thanh Hoa et de Nghe An bénéficieront deconsultations ophtalmologiques gratuites et recevront des informationssur la protection et les soins des yeux, ainsi que sur le dépistage desmaladies ophtalmiques.

C’est la 3e année consécutive quePrudential Vietnam est le sponsor de ce programme. En 2012 et 2013, 100% des opérations ont été réalisées avec succès, redonnant une bonneacuité visuelle à plus de 400 enfants.

Depuis l'an 2000,Prudential Vietnam, en collaboration avec le Fonds national pour lesenfants, a octroyé plusieurs milliards de dôngs pour assister desenfants en situation difficile, notamment en leur remettant des boursesd'études, en construisant des ouvrages sociaux pour les provincesmontagneuses, en finançant des interventions chirurgicales d'enfantshandicapés... - VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.