Projet de sécurité des ponts ferroviaires de la ligne Nord-Sud

Les travaux de l'enveloppe d'adjudication de montage N°1A (CP1A) du projet de renforcement de la sécurité des ponts ferroviaires de la ligne Hanoi-Ho Chi Minh-Ville ont été officiellement lancés le 6 avril dans la province de Ninh Binh (Nord).

Les travaux de l'envelopped'adjudication de montage N°1A (CP1A) du projet de renforcement de lasécurité des ponts ferroviaires de la ligne Hanoi-Ho Chi Minh-Ville ontété officiellement lancés le 6 avril dans la province de Ninh Binh(Nord).

Le maître d'ouvrage est la compagnie générale desChemins de fer du Vietnam, le maître d'oeuvre, le groupe d'entreprisesjaponaises MES, RINKAI et TAISEI, et la compagnie générale de montaged'ouvrages de communications 1 (CIENCO), ainsi que le consultant etcertificateur technique, le consortium japonais JTC-OC-JARTS (JOJ).

Cette enveloppe porte sur la construction de deux ponts et d'une garedans la province de Ninh Binh et dans le district de Y Yên de laprovince de Nam Dinh (Nord) pour un coût total de 1.200 milliards dedongs financé par des aides publiques au développement de l'Agencejaponaise pour la coopération internationale (JICA). Selon lesprévisions, les travaux devraient être achevés dans 36 mois.

Le directeur adjoint du Comité de gestion de ce projet, Pham Quang Duy,a déclaré que cette enveloppe CP1A est la plus importante du plan derenforcement de la sécurité des ponts ferroviaires de la ligne Nord-Sud.

Selon ce dernier, l'ensemble de ces ouvrages permettront au train Thong Nhat de gagner 5 heures sur cette ligne Nord-Sud. - AVI

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.