Pour augmenter le revenu des malvoyants au Vietnam

Le Comité central de l’Association des malvoyants du Vietnam et le Centre Siloam des malvoyants de la République de Corée ont inauguré le 7 octobre à Hanoi des cours de formation réservés aux malvoyants.

Hanoi (VNA) – Le Comité central de l’Association des malvoyants du Vietnam et le Centre Siloam des malvoyants de la République de Corée ont présenté un projet réservé aux malvoyants vietnamiens et ont inauguré des cours de formations de ce projet.

A cette occasion, le président du Comité central de l’Association des malvoyants du Vietnam, Pham Viet Thu a informé que son association et le Centre Siloam ont signé un mémorandum sur un projet d’assistance aux malvoyants vietnamiens en 2019. Selon ce document, ce centre va envoyer des enseignants sud-coréens au Vietnam pour donner des cours de formation en massage, techniques d’impression en Braille, utilisation des logiciels et des équipements technologiques au service des malvoyants.

Ce projet vise à aider les malvoyants vietnamiens à avoir plus d’opportunités pour augmenter leurs revenus et donc leur vie dans le futur. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.