Il s’agit du dernier développement de l’enquêtesur l’affaire de "corruption active, fait d’agir comme intermédiaire envue d’une corruption, corruption passive, abus de pouvoirs d’un dépositairepublic, escroquerie" survenue au ministère des Affaires étrangères et àHanoi et dans d’autres provinces et villes.
Ainsi, Dang Minh Phuong (né en 1985, ancienmembre du personnel de l’ambassade du Vietnam en Malaisie) s’est vu interdirede quitter son domicile et a vu sa maison perquisitionnée par la police. Il aété inculpé d’"abus de pouvoirs d’un dépositaire public" en vertu del’article 356 du Code pénal.
La police a également décidé d’enquêter etde perquisitionner la résidence et les lieux de travail de sept directeurs dedifférentes sociétés. Parmi les suspects, un a été placé en détentionprovisoire. Ils ont été accusés de "corruption active" en vertu de l’article364 du Code pénal.
Entre-temps, une pigiste a été accusée de "faitd’agir comme intermédiaire en vue d’une corruption" en vertu de l’article365 du Code pénal.
Les décisions ont été approuvées par leParquet populaire suprême.
Lors de la conférence de presse dugouvernement le 2 février, le porte-parole du ministère de la Sécurité publique,le général de division Tô An Xô, a déclaré que la police avait introduit uneinstance contre 41 personnes et saisi 80 milliards de dôngs (près de 3,4millions de dollars) qui seraient impliqués dans des actes répréhensibles liésaux vols de rapatriement au milieu de la pandémie. – VNA