L'Union des associations des Vietnamiens au Japon voit le jour

L'Union des associations des Vietnamiens au Japon (VUAJ) a été officiellement créée jeudi 6 avril, afin de renforcer les liens entre les associations des Vietnamiens dans ce pays.
L'Union des associations des Vietnamiens au Japon voit le jour ảnh 1Panorama du congrès. Photo: VNA

Tokyo (VNA) -L'Union des associations des Vietnamiens au Japon (VUAJ) a été officiellementcréée jeudi 6 avril, afin de renforcer les liens entre les associations desVietnamiens dans ce pays et d'édifier une communauté vietnamienne de plus enplus solidaire.

Lors du congrès defondation de la VUAJ, un Comité permanent de neuf membres a été élu. NguyenHong Son, vice-président de l'Association des intellectuels vietnamiens auJapon, président de l'Association des Vietnamiens de la préfecture d'Ibaraki, aété élu président de la VUAJ.

A cetteoccasion, le vice-ministre des Affaires étrangères Pham Quang Hieu, président dela Commission d'État chargée des Vietnamiens d'outre-mer, a envoyé une lettrede félicitations au Congrès. Il s'est déclaré convaincu que la VUAJ deviendraitun noyau de la cohésion communautaire et jouerait le rôle de passerelle entre Vietnamienset Japonais.

L'Union des associations des Vietnamiens au Japon voit le jour ảnh 2Des délégués participant à l'événement. Photo: VNA


Selonl'ambassade du Vietnam au Japon, ces 10 dernières années, le nombre deVietnamiens au Japon n'a cessé d'augmenter. Actuellement, environ 500.000 Vietnamiensvivent, travaillent ou étudient dans le pays du Soleil-Levant. Ainsi, lacréation de la VUAJ est absolument nécessaire pour réunir et lier lesassociations vietnamiennes afin de créer une synergie pour la communautévietnamienne au Japon. -VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.