Organisépar le comité populaire provincial, le Fonds américain Rockefeller,l'Institut de transition socio-environnemental (ISET) et le Réseau desvilles asiatiques résilientes au changement climatique (ACCCRN), ilavait pour objet d'échanger des expériences en matière de lutte contreles calamités naturelles dans les villes asiatiques en cette conjoncturede changement climatique.
Les participants ont discutéde nombreux points, notamment de la prévision, de la résilience et durèglement des conséquences des inondations sur la base des inondationshistoriques survenues en Thaïlande en 2011.
Selon ledocteur Thongchai Roachanakanan, les calamités naturelles en Thaïlandesont dues, entre autres, à la destruction des forêts, à l'urbanisation, àla construction de zones industrielles à l'Est de Bangkok... Lesexperts et représentants des autorités de Thaïlande ont échangé desopinions sur de nombreux problèmes concernant le s interactions entrele développement socioéconomique et la nature, ainsi que lesinondations... dans les villes thaïlandaises de Hat Yai, de Chiang Raiet de Bangkok.
Selon le vice-président du Comitépopulaire de la province de Binh Dinh, Mme Tran Thi Thu Ha, depuis 2009,la ville de Quy Nhon a participé à la 2e phase du programme de l'ACCCRNet coopéré avec l'ISET pour évaluer les vulnérabilités de sa situationet l'élaboration de scénarios sur le changement climatique et la montéedu niveau de la mer…
En 2010, cette ville a continué demettre en oeuvre la 3e phase du programme de l'ACCCRN, et créé un bureaude coordination sur le changement climatique afin de satisfaire auxexigences d'organisation et gestion des programmes et projets en lamatière.
Les représentants des villes de Da Nang et deCan Tho ont abordé plusieurs problèmes relatifs aux effets du changementclimatique, les orientations futures, l'intégration au sein de lasub-région du Mékong élargie en tenant compte des risques que présentele changement climatique... -VNA
