Actuellement, l’Hôpital central des maladies tropicales prépare les infrastructures, équipements et médicaments pour traiter les malades d’Ebola.
Cet établissement sanitaire a organisé des exercices de prévention et de lutte contre ce virus mortel. Nguyên Van Kinh, directeur de l’hôpital, a fait savoir que son établissement collabore avec le Département de gestion des consultations médicales - dépendant du ministère de la Santé - pour élaborer un schéma de traitement des malades. D’après lui, «il s’agit d’un virus mortel exigeant des préparatifs rigoureux, surtout dans le soin et le traitement des malades».
M. Kinh a ajouté : «Nous avons élaboré des mesures de prévention et de lutte, créé un comité de pilotage, assigné des tâches à chaque médecin, etc. Les médicaments, produits chimiques et équipements nécessaires sont prêts».
Pour sa part, Nguyên Trung Câp, chef adjoint du Département des urgences de cet hôpital, a dit que face à ce virus très contagieux, les inquiétudes concernant la contamination des médecins sont compréhensives. Il a rappelé que dans le passé, lorsque l’épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) a touché le Vietnam, certains docteurs et infirmières ont trouvé la mort.
L’Hôpital central des maladies tropicales a inauguré une zone de quarantaine, une autre d’assainissement et de traitement des déchets contagieux, un laboratoire de dépistage du virus… De plus, il a collaboré avec les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (USCDC) pour bénéficier d’une assistance technique, notamment en matière de tests de dépistage.
Le ministère de la Santé a fait une commande d’un millier de vêtements de protection.
Pour l’instant, aucun cas d’Ebola n’a été détecté dans le pays. Cependant, le risque est réel, ce qui exige des mesures de contrôle, aux aéroports internationaux notamment. Selon l’Organisation mondiale de la santé, 13.600 cas ont été décelés dans le monde, avec 5.000 morts. -CVN/VNA
Cet établissement sanitaire a organisé des exercices de prévention et de lutte contre ce virus mortel. Nguyên Van Kinh, directeur de l’hôpital, a fait savoir que son établissement collabore avec le Département de gestion des consultations médicales - dépendant du ministère de la Santé - pour élaborer un schéma de traitement des malades. D’après lui, «il s’agit d’un virus mortel exigeant des préparatifs rigoureux, surtout dans le soin et le traitement des malades».
M. Kinh a ajouté : «Nous avons élaboré des mesures de prévention et de lutte, créé un comité de pilotage, assigné des tâches à chaque médecin, etc. Les médicaments, produits chimiques et équipements nécessaires sont prêts».
Pour sa part, Nguyên Trung Câp, chef adjoint du Département des urgences de cet hôpital, a dit que face à ce virus très contagieux, les inquiétudes concernant la contamination des médecins sont compréhensives. Il a rappelé que dans le passé, lorsque l’épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) a touché le Vietnam, certains docteurs et infirmières ont trouvé la mort.
L’Hôpital central des maladies tropicales a inauguré une zone de quarantaine, une autre d’assainissement et de traitement des déchets contagieux, un laboratoire de dépistage du virus… De plus, il a collaboré avec les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (USCDC) pour bénéficier d’une assistance technique, notamment en matière de tests de dépistage.
Le ministère de la Santé a fait une commande d’un millier de vêtements de protection.
Pour l’instant, aucun cas d’Ebola n’a été détecté dans le pays. Cependant, le risque est réel, ce qui exige des mesures de contrôle, aux aéroports internationaux notamment. Selon l’Organisation mondiale de la santé, 13.600 cas ont été décelés dans le monde, avec 5.000 morts. -CVN/VNA