Quartorzeassociations de pêche ont été créées et plus de 6.841 personnes acquisesdes connaissances sur la pêche, tels sont les résultats du Programmerégional aux moyens d'existence des pêcheurs de l'Asie du Sud et duSud-Est (RFLP) après trois années de mise en oeuvre.
LeRFLP est organisé et supervisé par l'Espagne et l'Organisation desNations unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) dans six paysque sont le Vietnam, le Cambodge, l'Indonésie, les Philippines, le SriLanka et le Timor-Leste.
Au Vietnam, le programme adébuté en avril 2009 dans les provinces de Quang Tri, Quang Nam et ThuaThiên-Huê (Centre) et se terminera fin août 2013.
Cestrois dernières années, le RFLP a permis de créer 14 associations depêche et d'enseigner des connaissances sur la gestion de la pêche, lasécurité en mer, la lutte contre les catastrophes naturelles, latranformation et la conservation des aliments, la culture, l'élevage, laréalisation d'études de marché... à plusieurs milliers de personnes.
Le RFLP contribue notablement à jeter les bases de l'amélioration de lavie des pêcheurs et à favoriser le développement durable du Centre, aestimé Nguyên Huy Diên, vice-président du Département général desproduits aquatiques et président du Comité de coordination national duRFLP au Vietnam.
Les résultats et leçons tirées del'application de ce programme ont été pleinement partagées entre les sixpays participants.
Selon l'ambassadeur adjoint del'Espagne au Vietnam, Javier de Isturiz, ce programme permet derenforcer le mécanisme de gestion conjointe dans l'emploi des ressourcesaquatiques, d'assurer la sécurité et de réduire les risquesqu'encourent les pêcheurs, d'améliorer la qualité des produitsaquatiques, de développer le marché, d'augmenter le revenu des pêcheurset de leur donner accès à des microcrédits. -VNA

Vietnam–États-Unis : une coopération exemplaire dans le traitement des séquelles de la guerre
L’année 2025 marque le 30e anniversaire de la normalisation des relations bilatérales entre le Vietnam et les États-Unis (1995–2025), ainsi que le 50e anniversaire de la fin de la guerre du Vietnam (1975–2025). Il s’agit d’une occasion de faire le point sur le chemin parcouru et de renforcer davantage une coopération substantielle, dans laquelle le traitement des séquelles de la guerre constitue l’un des piliers essentiels.