La Thaïlande a officiellement passé la présidencedu groupe technique de l'ASEAN sur la prévention et la lutte contre lesméfaits du tabac au docteur Le Ngoc Khue, chef du département de lagestion de consultation et de traitement des maladies du Vietnam.
Lors du 2e colloque de deux jours des pays de l'ASEAN sur la préventionet la lutte contre les méfaits du tabac, organisé mercredi à Hanoi avecla participation des représentants de neuf pays aséaniens et desorganisations internationales, la vice-ministre de la Santé, Mme NguyenThi Xuyen, a annoncé que le taux de fumeurs chez les hommes étaitdescendu à 47,7% en 2010 au Vietnam, contre 56,1% en 2001.
Le gouvernement vietnamien a appliqué une augmentation des taxes de 65%de la valeur à la sortie de l'atelier pour les produits du tabac. Leministère de la santé en collaboration avec les ministères, secteurs etorganisations font annuellement écho à la semaine nationale sans tabac.Cependant, Mme Nguyen Thi Xuyen a reconnu que le travail du contrôle dutabac était une tâche durable demandant la détermination du Vietnammais encore des efforts des nations dans la région comme dans le monde.
Actuellement, neuf des dix pays aséaniens ont ratifié laConvention-cadre sur le contrôle du tabac, manifestant les engagementset efforts des pays de l'ASEAN dans les activités de prévention et delutte contre ses effets nocifs.
Les pays aséanienss'efforcent de devenir des nations sans tabac, appliquer le règlementdes services publics sans tabac dans les cinq années qui viennent etfaire figurer sur les paquets de cigarettes des images choc pour tenterde dissuader les consommateurs.
Lors de ce colloque, lesdélégués sont convenus de porter le groupe technique de l'ASEAN sur laprévention et la lutte contre les méfaits du tabac en un Comité deprévention et de lutte contre les effets nocifs du tabac de l'ASEAN. -AVI
📝 Édito: La liberté d’expression et de la presse n’est pas un prétexte pour saboter la nation ou semer la haine
Du point de vue du droit international et du droit vietnamien, il est essentiel de reconnaître clairement que les actes commis par des individus tels que Lê Trung Khoa et Nguyên Van Dài ne relèvent pas du champ d’application de la liberté d’expression ni de la liberté de la presse.