Hanoï (VNA) –Selon la docteure Socorro Escalante, représentante par intérim de l'OMS auVietnam, le risque d'une épidémie généralisée de Monkeypox (variole du singe) enAsie est faible.
“Le risqued'une épidémie généralisée de Monkeypox en Asie est faible d'après ce que noussavons actuellement sur le virus et son mode de transmission”, a-t-elle affirmélors d’une interview accordée à l’Agence vietnamienne d’Information (VNA).
“Il n'y a aucune preuve suggérant que le Monkeypox pourraitse propager comme les coronavirus. Cependant, nous faisons tout pour aider legouvernement à renforcer ses systèmes de santé publique pour détecter, prévenirla propagation et contenir la maladie”, a-t-elle déclaré.
Selon elle, la vaccination contre la variole s'est avéréeprotectrice contre la variole du singe. Un nouveau vaccin contre la variole etle Monkeypox a été approuvé mais n'est pas encore largement disponible. Elle aindiqué que l'OMS continuait de soutenir le développement de mécanismesmondiaux pour garantir l'accès aux contre-mesures (vaccins, traitements,diagnostics) en fonction des besoins de santé publique.
L'OMS recommande aux pays d’intensifier la surveillance etrenforcer la préparation aux enquêtes et à la recherche des contacts, ainsi que de sensibiliserle public.
Si une personne présente des symptômes qui pourraient êtrela variole du singe ou a été en contact avec une personne suspectée ouconfirmée de variole du singe, elle doit demander conseil à un fournisseur desoins de santé, a dit Socorro Escalante.
Les voyageurs devraient être encouragés à signaler lamaladie pendant le voyage ou à leur retour à un professionnel de la santé, ycompris des informations sur tous les antécédents de voyage et de vaccinationrécents, a-t-elle ajouté.
Les résidents et les voyageurs se rendant dans des paysendémiques doivent être avisés d'éviter tout contact avec des animaux malades(morts ou vivants) susceptibles d'héberger le virus de la variole du singe etdoivent s'abstenir de manger ou de manipuler du gibier sauvage (viande de brousse),a-t-elle poursuivi.
Elle a enfin insisté sur la nécessité de protéger les agentsde santé et de prévenir la transmission dans les établissements de santé. Lesagents de santé qui s'occupent de patients suspects ou confirmés de Monkeypoxdoivent recevoir des recommandations pour mettre en œuvre les précautionsstandard de contrôle des infections par contact et par gouttelettes.-VNA
“Le risqued'une épidémie généralisée de Monkeypox en Asie est faible d'après ce que noussavons actuellement sur le virus et son mode de transmission”, a-t-elle affirmélors d’une interview accordée à l’Agence vietnamienne d’Information (VNA).
“Il n'y a aucune preuve suggérant que le Monkeypox pourraitse propager comme les coronavirus. Cependant, nous faisons tout pour aider legouvernement à renforcer ses systèmes de santé publique pour détecter, prévenirla propagation et contenir la maladie”, a-t-elle déclaré.
Selon elle, la vaccination contre la variole s'est avéréeprotectrice contre la variole du singe. Un nouveau vaccin contre la variole etle Monkeypox a été approuvé mais n'est pas encore largement disponible. Elle aindiqué que l'OMS continuait de soutenir le développement de mécanismesmondiaux pour garantir l'accès aux contre-mesures (vaccins, traitements,diagnostics) en fonction des besoins de santé publique.
L'OMS recommande aux pays d’intensifier la surveillance etrenforcer la préparation aux enquêtes et à la recherche des contacts, ainsi que de sensibiliserle public.
Si une personne présente des symptômes qui pourraient êtrela variole du singe ou a été en contact avec une personne suspectée ouconfirmée de variole du singe, elle doit demander conseil à un fournisseur desoins de santé, a dit Socorro Escalante.
Les voyageurs devraient être encouragés à signaler lamaladie pendant le voyage ou à leur retour à un professionnel de la santé, ycompris des informations sur tous les antécédents de voyage et de vaccinationrécents, a-t-elle ajouté.
Les résidents et les voyageurs se rendant dans des paysendémiques doivent être avisés d'éviter tout contact avec des animaux malades(morts ou vivants) susceptibles d'héberger le virus de la variole du singe etdoivent s'abstenir de manger ou de manipuler du gibier sauvage (viande de brousse),a-t-elle poursuivi.
Elle a enfin insisté sur la nécessité de protéger les agentsde santé et de prévenir la transmission dans les établissements de santé. Lesagents de santé qui s'occupent de patients suspects ou confirmés de Monkeypoxdoivent recevoir des recommandations pour mettre en œuvre les précautionsstandard de contrôle des infections par contact et par gouttelettes.-VNA