Cette décision a été prise lors de la 18e réunion de la Commission duMékong (MRC) qui a eu lieu jeudi à Siem Riep, au Cambodge.
Répondant à la presse, Te Navuth, secrétaire général de lasous-Commission du Mékong du Cambodge, a précisé qu'à l'issue desdiscussions sur le processus de consultation des opinions sur le projetde Sayaboury, les pays membres de la MRC ont souligné que cetteréévaluation des conséquences par le Japon est nécessaire afin d'engarantir l'objectivité. La décision de réalisation de ce projetdépendra des résultats des études qui seront menées par les expertsjaponais.
Selon Te Navuth, ce projet ne peut être mis enchantier avant d'avoir déterminé précisément son impact surl'environnement du Mékong. Il a également souligné que la constructionde centrales hydroélectriques pour exploiter les potentiels de cefleuve en vue d'assurer le développement économique des pays concernésest une exigence légitime, elle ne doit cependant pas conduire à porteratteinte à l'intérêt des populations de cette région. -AVI
L'ASEAN et la Chine intensifient leur coordination contre la cybercriminalité transnationale
Une conférence ministérielle sur la lutte contre la cybercriminalité et la fraude aux télécommunications a réuni le 14 novembre à Kunming, dans la province chinoise du Yunnan, des représentants de la Chine, du Cambodge, du Laos, du Myanmar, de la Thaïlande et du Vietnam.