La Cour suprême du Cambodge a ordonné le 16 novembre la dissolution du CNRP et interdit ses 118 membres dirigeants d’activité politique pour cinq ans, à la suite d’une plainte du ministère de l’Intérieur accusant l’opposition d’avoir comploté avec des étrangers contre le gouvernement légal.
Au début du mois de septembre, Kem Sokha, président du CNRP, a été mis en examen pour « trahison et espionnage ». Depuis son arrestation, plus de la moitié de membres dirigeants du parti ont quitté le Cambodge.
Selon le Comité national électoral (CNE), les 55 sièges vacants de l’ancien CNRP à l’Assemblée nationale sont distribués conformément aux amendements de la loi sur les élections des membres de l’Assemblée nationale du Cambodge. – VNA