Ce cours concerne ledeuxième groupe d'aide-soignants et garde-malades vietnamiens partistravailler au Japon dans le cadre de l'Accord de partenariat économiqueVietnam-Japon.
Lors de la cérémonie marquant le début dece cours linguistique, Nguyen Gia Liem, conseiller du département dutravail revelant de l'Ambassade du Vietnam au Japon, a souligné lasignification importante du programme de coopération dans la formationet le recrutement des aide-soignants et garde-malades qui, selon lui,accélère la coopération bilatérale dans le soin des malades et personnesâgées hospitalisés au Japon.
Lors du cours de japonaisdu 1er juin au 27 juillet donné par l'Académie ARC, ces aide-soignantset garde-malades vietnamiens apprendront les termes techniques et lescompétences de conversation essentiels.
Puis, JICWELS(Japan International Corporation of Welfave Service) fournira auxstagiaires vietnamiens des connaissances professionnelles avant de lesenvoyer dans les établissements de santé japonais auxquels ils sontaffectés le 6 août.
Avant d'arriver au Japon, tous lesaide-soignants et garde-malades vietnamiens avaient déjà des certificatset participé à des cours de japonais de deux ans au Vietnam.
Takashi Tsunoda, représentant de JICWELS, a déclaré que sa sociétéfournirait aux stagiaires vietnamiens des connaissances indispensablesau service des examens de certification nationale du Japon.
Selon Shigemi Ando, représentant du Département de l'Asie du Sud,revelant du ministère japonais des Affaires étrangères, l'accueil dupersonnel soignant vietnamien est nécessaire en raison du vieillissementde la population japonaise.
Le Japon est l’un des paysdont la population vieillit le plus rapidement au monde. Dans dix ans,il aura besoin de 400.000 à 600.000 gardes-malades pour prendre soin despersonnes du troisième âge. Le Vietnam est le 3e pays à coopérer avecle Japon en la matière, après les Philippines et l’Indonésie.
Le premier groupe, composé de 138 infirmiers et aides-soignantsvietnamiens qualifiés, était arrivé au Japon en juin 2014. Lesétablissements médicaux japonais ont apprécié leurs capacités detravail. -VNA