Lancement du Mois pour les pauvres 2012 à Hanoi

 Le Comité du Front de la Patrie du Vietnam (FPV) a lancé ce 17 octobre le Mois pour les pauvres 2012 lors d'une cérémonie organisée mercredi à Hanoi, en présence du vice-Premier ministre Vu Van Ninh. Il se poursuit jusqu'au 18 novembre.

Le Comité du Front dela Patrie du Vietnam (FPV) a lancé ce 17 octobre le Mois pour lespauvres 2012 lors d'une cérémonie organisée mercredi à Hanoi, enprésence du vice-Premier ministre Vu Van Ninh. Il se poursuit jusqu'au18 novembre.

A cette occasion, Vu Van Ninh a affirmé quela réduction du taux de pauvreté constitue toujours une des grandesoptions du Parti et de l'Etat, soulignant que ces derniers préconisenttoujours de relier développement économique au progrès et à l'équitésociale, de créer des conditions propices pour faciliter ledéveloppement de la production des habitants, ainsi que d'encouragertoutes les composantes économiques à participer au commerce et à laproduction.

Il a également appelé les organisations etparticuliers vietnamiens comme étrangers à soutenir les personnes endifficulté, notamment celles vivant dans les régions reculées etdéfavorisées.

Selon Huynh Dam, président du FPV, le Fondspour les pauvres a mobilisé 7.190 milliards de dôngs au cours de ces 12dernières années.

En outre, les groupes économiquespublics, compagnies générales, entreprises, les localités ainsi que lesorganisations non-gouvernementales ont accordé 15.372 milliards de dôngspour les ouvrages et les programmes de bien-être social, contribuant àconstruire et remettre en état près de 1,2 million d'habitations, a faitsavoir Huynh Dam. - AVI

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.