Une nouvelle méthodeintitulée «Utiliser des plateaux pour les semailles et des repiqueusesmécaniques» a été récemment mise en place dans certaines zones rurales àHanoi, nouveau progrès dans le processus de mécanisation agricole.
Ces dernières années, grâce à des politiques efficaces et au soutiendes autorités de Hanoi, la qualité et la productivité du riz se sontcontinuellement améliorées. Cependant, les agriculteurs conserventencore les méthodes traditionnelles de repiquage manuel, le repiquagemécanique ne représentant que 7% de la superficie totale (200.000 ha).La mécanisation est pourtant considérée comme un facteur décisif pourdoper la production.
Lors de la saison de rizd'hiver-printemps 2013, le Centre de vulgarisation agricole de Hanoi apiloté l'application sur 13-15 ha d’une méthode de semailles et derepiquage mécaniques avec la variété de riz TBR 45, dans les communes deTân Uoc, district de Thanh Oai, et Hông Phong, district de Chuong My.Pendant le processus de mise en œuvre du modèle, il a soutenu la communede Tân Uoc avec une repiqueuse de riz et 1.500 plateaux de semis.
Selon Nguyên Dac Son, président de la Coopérative agricole de Tân Uoc,40 jours après le repiquage, le riz s'est bien développé avec denombreuses branches et a subi moins de maladies qu’à l’accoutumée. Enoutre, cette méthode permet également de réduire la quantité de semencesà 700g/360m2, soit une diminution de 2/3 par rapport au repiquagemanuel.
Dans les années à venir, la commune de TânUoc va s'efforcer de porter à 30% le taux de repiquage à la machine.Dans la commune de Hông Phong, district de Chuong My, la nouvelleméthode est mise en œuvre à titre expérimental sur 15 ha. À l'heureactuelle, à Hanoi, 1.500 ha sont exploités de cette manière.
«Après une année de mise en œuvre, cette méthode apporte bien plusd'avantages que les pratiques traditionnelles. Elle aide le riz à donnerplus de branches et à se développer fortement. Cette méthode permetd'économiser de la main-d'œuvre, d’assurer un espacement uniforme et unedensité de plantation optimale, de minimiser l'incidence des maladieset d’augmenter la productivité de 10% avec un bénéfice de 7 millions dedongs / ha. Elle contribue également à l'évolution de la vieillehabitude de production de riz commercial à grande échelle et àpromouvoir le processus de restructuration des terres agricoles », adéclaré Nguyên Van Chi, directeur du Centre de vulgarisation agricole deHanoi.
À l'heure actuelle, il existe cinq modèlesd'application de cette méthode, quatre portés par la coopérative et unpar une entreprise (Kubota) qui fournit des services aux agriculteurs.Pour mener à bien le modèle, Hanoi se concentre sur la planification deszones de production intensive, la restructuration des terres agricoles,la modernisation des canaux d'irrigation et de transport dans leschamps pour créer des conditions favorables à la mécanisation.
La ville encourage également à renforcer la coopération entreagriculteurs, scientifiques, l'État et les entreprises pour rehausser laproductivité du riz, contribuant ainsi à la construction de la Nouvellecampagne à Hanoi. – VNA
Ces dernières années, grâce à des politiques efficaces et au soutiendes autorités de Hanoi, la qualité et la productivité du riz se sontcontinuellement améliorées. Cependant, les agriculteurs conserventencore les méthodes traditionnelles de repiquage manuel, le repiquagemécanique ne représentant que 7% de la superficie totale (200.000 ha).La mécanisation est pourtant considérée comme un facteur décisif pourdoper la production.
Lors de la saison de rizd'hiver-printemps 2013, le Centre de vulgarisation agricole de Hanoi apiloté l'application sur 13-15 ha d’une méthode de semailles et derepiquage mécaniques avec la variété de riz TBR 45, dans les communes deTân Uoc, district de Thanh Oai, et Hông Phong, district de Chuong My.Pendant le processus de mise en œuvre du modèle, il a soutenu la communede Tân Uoc avec une repiqueuse de riz et 1.500 plateaux de semis.
Selon Nguyên Dac Son, président de la Coopérative agricole de Tân Uoc,40 jours après le repiquage, le riz s'est bien développé avec denombreuses branches et a subi moins de maladies qu’à l’accoutumée. Enoutre, cette méthode permet également de réduire la quantité de semencesà 700g/360m2, soit une diminution de 2/3 par rapport au repiquagemanuel.
Dans les années à venir, la commune de TânUoc va s'efforcer de porter à 30% le taux de repiquage à la machine.Dans la commune de Hông Phong, district de Chuong My, la nouvelleméthode est mise en œuvre à titre expérimental sur 15 ha. À l'heureactuelle, à Hanoi, 1.500 ha sont exploités de cette manière.
«Après une année de mise en œuvre, cette méthode apporte bien plusd'avantages que les pratiques traditionnelles. Elle aide le riz à donnerplus de branches et à se développer fortement. Cette méthode permetd'économiser de la main-d'œuvre, d’assurer un espacement uniforme et unedensité de plantation optimale, de minimiser l'incidence des maladieset d’augmenter la productivité de 10% avec un bénéfice de 7 millions dedongs / ha. Elle contribue également à l'évolution de la vieillehabitude de production de riz commercial à grande échelle et àpromouvoir le processus de restructuration des terres agricoles », adéclaré Nguyên Van Chi, directeur du Centre de vulgarisation agricole deHanoi.
À l'heure actuelle, il existe cinq modèlesd'application de cette méthode, quatre portés par la coopérative et unpar une entreprise (Kubota) qui fournit des services aux agriculteurs.Pour mener à bien le modèle, Hanoi se concentre sur la planification deszones de production intensive, la restructuration des terres agricoles,la modernisation des canaux d'irrigation et de transport dans leschamps pour créer des conditions favorables à la mécanisation.
La ville encourage également à renforcer la coopération entreagriculteurs, scientifiques, l'État et les entreprises pour rehausser laproductivité du riz, contribuant ainsi à la construction de la Nouvellecampagne à Hanoi. – VNA
