La 2e édition de la Journéevietnamienne du travail en République de Corée s'est déroulée le 30août à Séoul, avec la participation de 2.700 travailleurs.
C'est la 2e année consécutive que l'ambassade du Vietnam à Séoul,en collaboration avec les parties concernées, a organisé cetterencontre entre Vietnamiens travaillant au pays du Matin calme.
Etaient présents entre autres, côté vietnamien, une délégation duministère du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires socialesconduite par la ministre Nguyen Thi Kim Ngân, l'ambassadeur du Vietnamà Séoul, Pham Tien Van.
Côté sud-coréen, on a noté la présence du ministre du Travail, LeeYoung-hee, du député Kang Sung-chun, président de l'Organisationinternationale du Travail de la République de Corée (KOILAF).
Nguyen Thi Kim Ngân a déclaré que ces échanges aidaient àrenforcer la compréhension, l'amitié et la coopération multiforme entreles deux peuples. Elle a encouragé les travailleurs vietnamiens àrespecter la loi sud-coréenne, à s'ouvrir aux nouveaux savoir-faire etnouvelles technologies pour améliorer leur qualification et contribuerà leur retour au Vietnam au processus d'industrialisation et demodernisation du pays.
Pour sa part, Lee Young-hee a déclaré que le Vietnam est en têtedans la liste des 15 pays participant au programme d'envoi detravailleurs en République de Corée (EPS).
A l'heure actuelle, plus de 45.000 Vietnamiens travaillent dansplus de 1.500 PME sud-coréennes, contribuant à promouvoir ledéveloppement des activités commerciales des entreprises en particulieret de l'économie sud-coréenne en général.
A cette occasion, l'ambassade du Vietnam a remis des lettres deremerciement à 6 entreprises sud-coréennes ayant embauché un grandnombre de Vietnamiens ces derniers temps ainsi que des satisfecit àhuit travailleurs vietnamiens exemplaires.-AVI
Les pêcheurs engagés pour lever le « carton jaune » de la pêche INN
Ces dernières années, dans la ville de Huê, les pêcheurs sont devenus de véritables « gardiens de la mer », en respectant strictement les règles contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Grâce à une coordination étroite avec les gardes-frontières et les autorités locales, chaque navire est suivi et ses données sont vérifiées, contribuant ainsi à la transparence du secteur et aux efforts visant à lever l’avertissement de l’Union européenne (UE).