Ayant pour thème "La guerre au Vietnamn'est pas encore finie", cette 3e "Journée de l'agent orange" a informédes conséquences catastrophiques des produits chimiques déversées parl'armée américaine pendant la guerre et aussi des douleurs physiques etmorales des victimes.
Le point d'orgue a été laprojection du premier documentaire de la réalisatrice Sakada Masako,produit en 2007, "Agent orange - Mon propre requiem" (Agent Orange - Apersonal requiem en anglais).
Le film, qui a remportéplusieurs prix japonais et internationaux, raconte, entre autres,l'histoire de son mari, Gref Davis, un vétéran de la guerre du Vietnamqui est mort en 2003 à l'âge de 54 ans d'un cancer causé par l'agentorange.
Ce film reflète les effets horribles de ceproduit chimique sur l'homme à travers des images de la vie des victimeset des témoins de la guerre, dont son mari.
Le film atouché le coeur des spectateurs en décrivant la vie difficile desvictimes, enfants et adultes, et de leurs proches.
Dansle cadre de cet évènement, le photographe Goro Nakamura a présenté deuxouvrages de photos sur les victimes vietnamiennes de l'agent orange, quesont "Ma mère atteinte de l'agent orange" et "Agent orange sur lechamps de bataille".
Cette "Journée de l'agent orange duVietnam" s'est terminée par un concert philantrophique avec laparticipation d'artistes japonais et vietnamiens. -VNA
Trois programmes cibles nationaux ont atteint voire dépassé leurs objectifs
Un rapport du Comité central de pilotage des programmes cibles nationaux pour la période 2021-2025 indique que la réduction de la pauvreté dans les zones peuplées de minorités ethniques a été en moyenne de 3,2% par an. Le revenu par habitant de ces minorités devrait atteindre 45,9 millions de dôngs (1.760 dollars) en 2025, en hausse de 3,3 fois par rapport à 2020.