La Croix-Rouge du Vietnam aux côtés des victimes de la tempête Sinlaku à Kien Giang

Le 5 août, le comité central de la Croix-Rouge du Vietnam a annoncé octroyer des soutiens en argent et matériel, d’un montant de 189 millions de dongs à des victimes de la tempête Sinlaku à Kien Giang.
La Croix-Rouge du Vietnam aux côtés des victimes de la tempête Sinlaku à Kien Giang ảnh 1Photo: Internet

Kien Giang (VNA) – Le 5 août, le comité central de la Croix-Rouge du Vietnam a annoncé octroyer des soutiens en argent et matériel, d’un montant de 189 millions de dongs (plus de 7.800 dollars) à des victimes de la tempête Sinlaku à Kien Giang.

Le 2 août, ce typhon avait endommagé 594 maisons et inondé 201 hectares de rizière. Les pertes matérielles sont estimées à 7,2 milliards de dongs. Les sinistrés recevront de l’argent liquide, de la nourriture et des outils pour réparer leurs maisons.

Une dépression tropicale s'est transformée en une tempête, nommée Sinlaku, à midi du 1er août, devenant la deuxième à entrer en Mer Orientale depuis le début de cette année.

En raison de l'impact de la tempête, les localités du Nord et du Centre ont subi de fortes pluies du 1er août après-midi au 2 août au soir. -VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.