Société

La BIDV consacre 20.000 milliards de dôngs à la santé

La Banque d'Investissement et de Développement du Vietnam (BIDV) a décidé de lancer un programme de crédits en faveur du déchargement et du développement des hôpitaux de ressort central et local doté d'une enveloppe de 20.000 milliards de dôngs, soit plus de 917 millions de dollars.
La Banqued'Investissement et de Développement du Vietnam (BIDV) a décidé delancer un programme de crédits en faveur du déchargement et dudéveloppement des hôpitaux de ressort central et local doté d'uneenveloppe de 20.000 milliards de dôngs, soit plus de 917 millions dedollars.

Dans ce cadre, la BIDV accordera des prêts àtaux préférentiels de 20 ans au plus aux projets de modernisation del'équipement médical, de réhabilitation d'hôpitaux et de réduction de lasurcharge des établissements de santé de Hanoi et de Hô Chi Minh-Ville.

Ce programme a pour objet de favoriser l'application dela Résolution 93/NQ-CP du gouvernement sur les mécanismes et politiquesde développement de la santé publique en date du 15 décembre 2014. -VNA

Suivez VietnamPlus

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.