La banque BIDV offre des ordinateurs au Laos

La Banque vietnamienne de l’investissement et du développement (BIDV) a offert un lot de 50 ordinateurs au ministère laotien des Sciences et Technologies lors d’une cérémonie organisée jeudi à Vientiane.
La Banquevietnamienne de l’investissement et du développement (BIDV) a offert unlot de 50 ordinateurs au ministère laotien des Sciences et Technologieslors d’une cérémonie organisée jeudi à Vientiane.

SelonTran Bac Ha, président du Conseil d'administration de la BIDV, ceséquipements, qui serviront aux recherches scientifiques conduites par leministère laotien, ont montré tout l'intérêt que porte le Vietnam audéveloppement des sciences et technologies au Laos.

LaBIDV va octroyer trois bourses au ministère laotien des Sciences etTechnologies, construire une école "intelligente" à Vientiane afind’aider le Laos à développer son contingent de ressources humaines dehaute qualité, a-t-il indiqué.

Outre sesinvestissements, la BIDV a mené nombre d’activités pour contribuer àl’assurance du bien-être social du Laos. Elle a offert des milliersd’ordinateurs, construit des écoles et participé à la réduction de lapauvreté dans des zones reculées. -AVI

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.