Kim Phuc appelle à la paix et au pardon

Kim Phuc, une Vietnamienne victime du napalm mondialement connue, a lancé un message appelant à la paix et au pardon lors d'une visite en Colombie afin de mener des activités humanitaires, a rapporté le 23 août la presse cubaine Granma.
Kim Phuc, une Vietnamienne victime du napalmmondialement connue, a lancé un message appelant à la paix et au pardonlors d'une visite en Colombie afin de mener des activités humanitaires,a rapporté le 23 août la presse cubaine Granma.

Kim Phuc apparaît sur une photo devenue célèbre prise en juin 1972, lamontrant à l'âge de neuf ans, de face, nue sur une route après avoirété grièvement brûlée par une attaque au napalm du village de TrangBang.

Prenant la parole lors d'un point de presse àBogota, Kim Phuc, actuelle ambassadrice de bonne volonté de l'UNESCO, adéclaré que "personne ne peut changer l'histoire mais avec l'amour,nous pouvons changer l'avenir".

Elle a précisé qu'ellesubit les conséquences du passé dans son corps et qu'elle ne l'oublierajamais, mais "la guerre ne peut tuer mon espoir". -AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.