Da Nang (VNA) - En 2011, la société vietnamienne par actions VBPO, spécialisée dans la fourniture de services d’externalisation de logiciels à des partenaires japonais, n’a réalisé qu’un chiffre d’affaires de quelques centaines de dollars. Quatre années après, il était d'un million de dollars.
Le Japon est devenu un débouché de fort potentiel pour les entreprises d’externalisation de logiciels du Vietnam, de Da Nang en particulier. Dans cette ville, de nombreuses entreprises de ce secteur ont obtenu de grosses commandes de partenaires japonais. Cependant, pour bien y répondre, un corps de plusieurs centaines, voire de milliers d’employés, est nécessaire. Un défi de taille pour les entreprises locales.
«D’après moi, la ville et les entreprises locales doivent renforcer leur coopération dans le développement des ressources humaines. Il est important aussi d’établir un programme intégral d’amélioration des compétences en relation avec le renforcement de la formation en langue japonaise. Cela contribuera à assurer le développement durable des entreprises locales, mais aussi de la ville», a suggéré Trân Manh Huy, directeur de la société par actions VBPO.
A cet égard, M. Kozo Tanaka, un investisseur japonais dans ce secteur, a jugé que la qualité des ressources humaines et la réputation devraient être considérés comme de première importance pour le développement des entreprises vietnamiennes comme pour le renforcement des potentiels de coopération entre le Japon et les entreprises locales.
«Je crois que si ces défis sont relevés, Da Nang, et plus généralement le Vietnam, deviendra une destination de plus en plus attractive non seulement pour les investisseurs japonais, mais aussi pour de nombreux groupes multinationaux et entreprises étrangères de sous-traitance informatique», a-t-il souligné. -CPV/VNA
Faire rayonner la saveur du cacao de Lam Đong à travers le monde
« Si tout le monde reste dans les villes prospères, qui retournera bâtir son village natal ? » C’est avec cette question pleine de sens que Luong Thi Duyen et Be Thi Thu Huyen, deux amies d’enfance originaires de la commune de Cat Tien 2 (province de Lam Đong), ont choisi de quitter Hô Chi Minh-Ville pour revenir dans leur région natale et y bâtir un rêve : créer la marque “Bản Cacao”.
