Inclusion de contenus sur les droits de l'homme dans les programmes d'enseignement

D'ici fin 2025, 100% des établissements du système éducatif national incluront des contenus relatifs aux droits de l'homme dans leurs programmes d’enseignement.
Inclusion de contenus sur les droits de l'homme dans les programmes d'enseignement ảnh 1Photo: VNA

Hanoï (VNA) - D'ici fin 2025, 100% des établissements du système éducatif national incluront des contenus relatifs aux droits de l'homme dans leurs programmes d’enseignement, selon la décision n° 1309/QD-TTg du 5 septembre 2017 du Premier ministre approuvant le programme d'inclusion de contenus relatifs aux droits de l'homme dans les programmes d'enseignement de l'éducation nationale.

Actuellement, l'Académie nationale de politique Ho Chi Minh et les ministères et organes concernés se coordonnent activement pour atteindre cet objectif.

Ce sujet a été abordé lors d’un séminaire organisé le 17 novembre par le ministère de l’Information et de la Communication, qui visait à fournir à la presse des informations sur le travail lié aux droits de l'homme et les affaires étrangères.

Inclusion de contenus sur les droits de l'homme dans les programmes d'enseignement ảnh 2Photo: MOET


A l’heure actuelle, l'Académie nationale de politique Ho Chi Minh élabore quatre ensembles de documents guidant les enseignants dans l’intégration de contenus sur les droits de l’homme dans les programmes des écoles maternelles, élémentaires et secondaires.

Lors de la conférence, le vice-ministre de l'Information et de la Communication, Nguyen Thanh Lam, a souligné le rôle important de la presse, des médias et de l'éducation dans la sensibilisation aux droits de l’homme.-VNA

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.