Ces travaux représentent uninvestissement de 618 milliards de dôngs, financés à hauteur de 9,8millions d'euros par des aides publiques au développement dugouvernement belge.
Une fois achevées, ces trois stationsde Cô Nhuê (sous bassin de Cô Nhuê), Dông Bông 1 (sous bassin de MyDinh) et Dông Bông 2 (sous bassin de Mê Tri) auront des capacités de 12,8 et 9 mètres cubes/seconde, grâce à des équipements ultramodernesfournis par la société bruxelloise CFE Ecotech.
Il s'agitd'un important projet pour la capitale, qui est géré et mis en oeuvrepar l'EURL d'évacuations des eaux de Hanoi, a déclaré Nguyên Thê Hung,directeur du Service municipal de la Construction.
Ilpermettra de réduire les risques d'inondations à Cô Nhuê, My Dinh et àMê Tri où le taux d'urbanisation est le plus élevé de toute la capitale.Les travaux seront achevés en 2014.
La construction deces trois stations de pompage est prévue par le Plan d'aménagement duréseau d'évacuation des eaux de Hanoi pour 2030 et sa vision pour 2050qui, approuvé par le Comité populaire municipal, est en cours d'agrémentau ministère de la Construction, a souligné Nguyên Thê Hung.
La capitale entend mener de front l'évacuation des eaux pluviales ainsique la collecte et le traitement des eaux usées, dans l'ambition demettre définitivement fin aux inondations récurrentes survenant ensaison des pluies, raison pour laquelle Hanoi encourage lesorganisations et entrepreneurs à investir dans son réseau.
Ce plan donne une priorité jusqu'en 2030 aux bassins des rivières Nhuê,Tich et Day. La ville fera construire un ensemble de stations depompages en dur, les canaux fluviaux seront dragués, et la 2e phase duprojet d'évacuation des eaux sera accélérée intra-muros.
S'agissant de la collecte et du traitement des eaux usées, 90% serontcollectées et traitées d'ici 2020 puis 100% en 2030, sachant quel'estimation de leur volume en 2020 est de plus de 1,014 million demètres cubes/jour pour toute la capitale.- AVI
Le vice-PM Bui Thanh Son plaide pour un combat accru contre la traite humaine
Le Vietnam et les pays de la sous-région du Grand Mékong doivent poursuivre leur action, mutualiser leurs ressources et obtenir un soutien international accru pour lutter contre la traite des êtres humains, a déclaré le vice-Premier ministre Bui Thanh Son.