Le Vietnam prend en hauteconsidération l'attrait de l'investissement comme des technologiesétrangers, considérant ceux-ci comme un levier important pourrestructurer son agriculture et son économie rurale, ainsi que pouraméliorer la vie des agriculteurs, a précisé le vice-ministre vietnamiende l'Agriculture et du Développement rural, Le Quoc Doanh.
Le Vietnam souhaite coopérer avec Israël, notamment dans l'agriculture, la sylviculture et l'aquaculture, a-t-il ajouté.
Selon le vice-président de la VCCI, Doan Duy Khuong, le commercebilatéral s'est élevé à 1,1 milliard de dollars en 2012. Ces dernierstemps, la coopération entre les investisseurs des deux payss'approfondit de plus en plus.
Le Vietnam fait grand casdes sciences et des technologies israeliennes dans l'agriculture etsouhaite développer sa coopération en ce domaine.
Lesdeux pays doivent créer des institutions et signer des accords pourcréer un environnement d'investissement plus favorable, notamment ensimplifiant les formalités administratives et en réduisant lesobstacles, a ajouté Doan Duy Khuong.
L'ambassadeurd'Israël, Mme Meirav Eilon, a contasté qu'au Vietnam, l'agriculture estl'un des secteurs de pointe du développement économique et qu'Israëlprête une grande attention à celui-ci.
La création lorsde ce forum du Comité du commerce Vietnam-Israël permettra de promouvoirles activités de coopération au commerce entre les entreprises des deuxpays, a-t-elle estimé, souhaitant que les deux gouvernementssoutiennent cette coopération.
Selon la VCCI, ces 20dernières années, l'agriculture du Vietnam a maintenu une croissancecontinue de 4 à 5 % par an. Le pays est devenu le deuxième exportateurmondial de riz et le premier de noix de cajou, de poivre, de café, decaoutchouc, de thé... Ses produits agricoles, sylvicoles et aquatiquessont consommés dans plus de 160 pays et territoires du monde. -VNA
Bac Ninh en quête d'IDE de "nouvelle génération"
La province de Bac Ninh, pôle industriel majeur du Nord, a organisé jeudi un "Dialogue sur la politique de promotion des investissements" avec ses principaux partenaires asiatiques, visant à attirer des flux de capitaux directs étrangers (IDE) de « nouvelle génération », axés sur la haute technologie et le développement durable.