Effervescence du marché des cadeaux pour les femmes

À l’approche de la fête des femmes (8 mars), outre les cadeaux traditionnels, plusieurs produits originaux importés sont proposés dans les magasins dans les rues spécialisées de Hanoi comme Tôn Thât Tùng, Hàng Ma, Chùa Bôc...
À l’approche de la fêtedes femmes (8 mars), outre les cadeaux traditionnels, plusieurs produitsoriginaux importés sont proposés dans les magasins dans les ruesspécialisées de Hanoi comme Tôn Thât Tùng, Hàng Ma, Chùa Bôc...

Alorsque quelques jours seulement restent avant cette fête, les magasins decadeaux de la rue Tôn Thât Tùng sont pleins de clients, pour l’essentieldes étudiants et des élèves. «Il y a une semaine, plusieurs produitssont arrivés, notamment des cartes de vœux, des immortelles, despeluches, des coques de téléphones portables...», a indiqué Nguyên Hang,patronne d’un de ces magasins.

C’est aussi une bonneoccasion de vente pour les librairies. Ces dernières années, nombre depersonnes ont préféré offrir des livres à leurs proches et amis lors desfêtes. «Lors de la dernière Saint-Valentin, les œuvres d’amour se sontbien vendues. C’est pourquoi notre magasin commande de nouvelles œuvrespour la fête des femmes», a déclaré un vendeur de la librairie de BachKhoa.

Cette année, les objets de luxe originaux plaqués or tels que fleurs, cartes de vœux... sont nombreux sur le marché.

Lesroses plaquées en or à 24 carats d’une longueur de 25 cm environ sontappréciées, car leur couleur ne change pas avec le temps. Elles coûtentde 500.000 à 1,5 million de dôngs la pièce.

Selon les magasins,les cartes de vœux plaquées or à 24 carats ont beaucoup de succès pourle 8 mars. Elles sont assez chères, plusieurs millions de dôngs.-CVN/VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.