Un colloque sur le cadre de qualificationsau sein de l'ASEAN et le cadre national de qualifications (CNQ) a étéorganisé lundi à Hanoi par le ministère de l'Éducation et de laFormation.
Étaient présents à cet événement Mme Nguyen Thi Nghia, vice-ministre dece dernier, des experts ainsi que des représentants d'organisationsinternationales et d'ambassades.
Ce colloque visait àvérifier des documents pour élaborer le cadre de qualifications au seinde l'ASEAN adapté au contexte national, à développer et utiliser lecadre de référence régional, à avancer un plan national de mise enoeuvre de l'ordre du jour sur le renforcement de la capacitéd'élaboration du CNQ et du système d'assurance de qualité à l'échellede chaque pays membre.
Le CNQ est de plus en plusappliqué dans le système d'éducation d'un nombre croissant de pays dumonde. Tandis que de nombeux pays développés ont élaboré le cadrenational de performances (CNP) au cours de la dernière décennie, laplupart des pays en voie de développement sont en train de rechercherdes expériences ou d'élaborer le CNQ. Actuellement, le Vietnam nepossède pas de CNQ complet comme celui actuellement appliqué dansd'autres pays.
Selon Mme Nghia, l'élaboration du CNQpermettra au système d'éducation national de perfectionner la gestion,les méthodes d'enseignement, une vérification plus précise desconnaissances et des compétences des élèves et des étudiants. Parailleurs, si le CNQ répond aux normes des pays de l'ASEAN, les diplômeset les certificats du Vietnam seront reconnus dans les pays asiatiques.Parallèlement, le Vietnam se concentrera sur la vérification de laqualité d'enseignement dans les établissements de formationprofessionnelle. -AVI

Vietnam–États-Unis : une coopération exemplaire dans le traitement des séquelles de la guerre
L’année 2025 marque le 30e anniversaire de la normalisation des relations bilatérales entre le Vietnam et les États-Unis (1995–2025), ainsi que le 50e anniversaire de la fin de la guerre du Vietnam (1975–2025). Il s’agit d’une occasion de faire le point sur le chemin parcouru et de renforcer davantage une coopération substantielle, dans laquelle le traitement des séquelles de la guerre constitue l’un des piliers essentiels.