Selon une estimation du Centre de promotion des importations de pays en voie de développement des Pays-Bas (CBI), malgré les effets de la récession économique dans la zone euro, le secteur alimentaire poursuit sa croissance.
En effet, en termes de chiffre d’affaires, ce secteur est en tête du monde avec une croissance annuelle moyenne de 3,5 % lors des prochaines années. En effet, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), la demande mondiale de fruits et légumes devrait progresser de 3,6 % en moyenne par an, alors que l’offre n’augmenterait que 2,5 %.
Cette situation ouvre de belles opportunités pour les entreprises vietnamiennes de l’agroalimentaire. En effet, le Vietnam est l’un des pays possédant d’importants potentiels dans l’agriculture et la transformation de produits agricoles, notamment des fruits.
Lors du seul mois de décembre, les exportations des fruits ont dégagé plus de 70 millions de dollars et, en 2013, plus d’un milliard de dollars pour une croissance annuelle de 25 %. Et ce chiffre d’affaires devrait continuer d’augmenter les prochaines années avec l’entrée en vigueur d’importants accords de libre-échange en cours de négociation.
Actuellement, de nombreux fruits vietnamiens, pamplemousse, ramboutan, longane, mangoustan, caïmite, pitaya, durian... sont de plus en plus appréciés et prisés dans le monde, notamment en Europe, a expliqué le docteur Pham Van Du, chef adjoint du Département des cultures du ministère de l’Agriculture et du Développement rural.
Cependant, pour être davantage présents sur le marché européen, ces fruits doivent répondre à des normes comme Global GAP, BRC, MRLs… Celles-ci sont également un important obstacle à l’export des fruits vietnamiens car le secteur de la fruiticulture présente des faiblesses telles que manque de zones de production, de technologies de conservation... Des lacunes qui influent fortement sur la qualité des fruits devant être exportés en Europe, où la qualité prime.
Si les agriculteurs et les entreprises peuvent résoudre ces problèmes, les fruits vietnamiens occuperont plus de parts de marché dans cette région. -VNA
En effet, en termes de chiffre d’affaires, ce secteur est en tête du monde avec une croissance annuelle moyenne de 3,5 % lors des prochaines années. En effet, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), la demande mondiale de fruits et légumes devrait progresser de 3,6 % en moyenne par an, alors que l’offre n’augmenterait que 2,5 %.
Cette situation ouvre de belles opportunités pour les entreprises vietnamiennes de l’agroalimentaire. En effet, le Vietnam est l’un des pays possédant d’importants potentiels dans l’agriculture et la transformation de produits agricoles, notamment des fruits.
Lors du seul mois de décembre, les exportations des fruits ont dégagé plus de 70 millions de dollars et, en 2013, plus d’un milliard de dollars pour une croissance annuelle de 25 %. Et ce chiffre d’affaires devrait continuer d’augmenter les prochaines années avec l’entrée en vigueur d’importants accords de libre-échange en cours de négociation.
Actuellement, de nombreux fruits vietnamiens, pamplemousse, ramboutan, longane, mangoustan, caïmite, pitaya, durian... sont de plus en plus appréciés et prisés dans le monde, notamment en Europe, a expliqué le docteur Pham Van Du, chef adjoint du Département des cultures du ministère de l’Agriculture et du Développement rural.
Cependant, pour être davantage présents sur le marché européen, ces fruits doivent répondre à des normes comme Global GAP, BRC, MRLs… Celles-ci sont également un important obstacle à l’export des fruits vietnamiens car le secteur de la fruiticulture présente des faiblesses telles que manque de zones de production, de technologies de conservation... Des lacunes qui influent fortement sur la qualité des fruits devant être exportés en Europe, où la qualité prime.
Si les agriculteurs et les entreprises peuvent résoudre ces problèmes, les fruits vietnamiens occuperont plus de parts de marché dans cette région. -VNA