Crues : CARE aux côtés des sinistrés à An Giang

Depuis octobre 2011, l'association internationale CARE a accordé des aides à 5.000 foyers touchés par les crues dans la province d'An Giang (Sud).

Depuis octobre 2011, l'associationinternationale CARE a accordé des aides à 5.000 foyers touchés par lescrues dans la province d'An Giang (Sud).

Ces aides s'inscrivent dans le cadre d'un projet d'assistance d'urgenceen cas de crues dans le delta du Mékong de cette association. A cejour, ce projet, d'un budget total de 308.000 dollars, a remis auxsinistrés locaux 217 tonnes de riz, 220 canots, 2.600 bouées desauvetage... Il a également permis d'améliorer le réseaud'approvisionnement en eau propre et de réparer des cabinets d'aisancesdans les districts d'An Phu, Chau Phu et Tinh Bien.

Al'heure actuelle, une ONG australienne, par l'intermédiaire de CARE,finance un projet sur la gestion des catastrophes naturelles à AnGiang. Bénéficiant de 36.000 dollars d'aide non remboursable, ce projetest mis en oeuvre de janvier à juin 2012 dans les communes de Thanh MyTay, Binh Phu (district de Chau Phu), et Vinh Loc, Vinh Hau (districtd'An Phu). -AVI

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

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Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.