La compagnie Minh Phusera taxée à 5,08 %, et la compagnie Nha Trang Seafoods, à 7,05 %,tandis que la taxe nationale imposée aux autres compagnies sera de 6,07%. Cette taxation trop élevée fait suite à une première imposée au titrede dumping.
La décision définitive devrait intervenir avant août 2013, et l'entrée en vigueur de ces taxes, dès le mois d'août.
Selon M. Truong Dinh Hoe, secrétaire général de l'Association desentreprises de transformation et d'exportation des produits aquatiquesdu Vietnam (VASEP), la décision du DOC n'est pas raisonnable car elle nese fonde que sur des circulaires et décisions du Vietnam portantassistance au secteur aquicole, ce qui n'est pas convaincant.
La taxe anti-subvention est injustement appliquée aux entreprisesvietnamiennes, a affirmé la VASEP lors d'un communiqué de presse rendupublic afin de protester contre cette décision. Les entreprisesvietnamiennes fonctionnent conformément aux règles du marché et nebénéficient d'aucune subvention publique.
Cette décisionpréliminaire va gravement affecter les exportations aux Etats-Unis, etdonc les importateurs américains de crevettes et leurs transactions surle marché. Cette décision et les précédentes taxes antidumping contreles crevettes du Vietnam sont injustes et portent directement atteinte àla vie de plus de 600.000 aquaculteurs.
La VASEP ademandé au DOC de réexaminer sa décision préliminaire et de mener uneenquête pour établir qu'il n'y a aucune subvention par l'Etat du secteurdes crevettes au Vietnam.
Les Etats-Unis sont ledeuxième importateur de ce produit après le Japon. En 2012, ils en ontimporté pour 480 millions de dollars, soit 20 % des exportationsnationales.
Ces quatre derniers mois, le Vietnam a exporté aux Etats-Unis pour 132,7 millions de dollars de crevettes. -VNA
La capitale vietnamienne accélère sa transition digitale
D’une petite ville de 152 km² comptant seulement 430.000 habitants, Hanoï est aujourd’hui devenue le plus grand centre économique et technologique du pays, avec un taux de croissance toujours supérieur à la moyenne nationale. Dans sa stratégie visant à construire une économie verte, circulaire et durable, l’économie numérique est définie comme un moteur décisif permettant à la capitale de faire un bond dans la prochaine décennie.