COVID-19 : Khanh Hoa met fin à la distanciation sociale

Le 4 septembre, le Comité populaire provincial de Khanh Hoa a décidé de mettre fin à la distanciation sociale mise en place depuis le 10 août.
COVID-19 : Khanh Hoa met fin à la distanciation sociale ảnh 1Mesurer la température corporelle de touristes à Hon Chong, ville de Nha Trang, province de Khanh Hoa. Photo : VNA
Khanh Hoa (VNA) - Le 4 septembre, le Comité populaireprovincial de Khanh Hoa a décidé de mettre fin à la distanciation sociale miseen place depuis le 10 août.

Depuis le 7 août 2020, où le 791e cas de COVID-19 du Vietnama été détecté à Khanh Hoa, cette province du Centre a passé 28 jours sans aucunnouveau cas de transmission locale du coronavirus.

Pour faciliter le développement économique et assurer lasécurité sociale, à partir du 5 septembre à 0h00, les événements, les activitésreligieuses, les mariages, les services non essentiels (karaoké, bars,discothèques, établissements de massage, jeux vidéo en ligne), sont autorisés àreprendre leurs activités en assurant des mesures préventives telles que leport du masque, le contrôle de la température corporelle... Il est égalementnécessaire de garder une distance minimale de 1 m dans les rassemblements denombreuses personnes.

Durant la nouvelle phase épidémique, au 4 septembre, laprovince de Khanh Hoa a signalé 13 cas de COVID-19. La plupart d'entre eux sontdes citoyens vietnamiens rentrant chez eux via l'aéroport international de CamRanh, seul un cas de transmission locale du virus. Deux patients ont été guériset sont sortis de l’hôpital le 14 août et le 1er septembre.-VNA       

Voir plus

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.