Cedernier a été organisé par l’Initiative pour le Développement del’Expertise Française à l’International et en Europe (IDEFIE).
L’aménagement et le développement de cités urbaines "vertes etintelligentes", des infrastructures de base, des relations departenariat public-privé dans le secteur de l’eau et du traitement desdéchets... ont été au centre des débats.
Cesspécialistes ont discuté des incidences de la structure urbaine auVietnam sur la gestion du réseau d’infrastructures des cités urbaines,de la nécessité d’améliorer les services connexes dans la conjonctured’une progression du taux d'urbanisation qui est passé de 20,7% en 1999 à33,45% en 2013.
Ces dernières années au Vietnam, leréseau de centres urbains se développe très rapidement, en envergurecomme en qualité. Aujourd’hui, le pays compte environ 770 citésurbaines.
Lors de ce colloque, les spécialistes ontprécisé que le développement du secteur urbain au Vietnam recelait denombreuses limites. Les infrastructures techniques et sociales nerépondent pas encore aux besoins croissants de la population. Lesembouteillages, la surcharge des services médicaux, la pollution del'environnement augmentent de plus en plus. La plupart des villes etcentres urbains, qui sont situés dans les deltas et sur le littoral,sont vulnérables aux effets du changement climatique.
"La coopération franco-vietnamienne en matière d’aménagement des citésurbaines présente encore des potentiels. Sur la base des bonnesrelations entre les deux pays et l’expérience des spécialistes françaisdans ce secteur, je souhaite que le Vietnam et la France renforcent leurcoopération", a déclaré Nicolas Tenzer, le président de l’IDEFIE.-VNA/CPV

Vietnam–États-Unis : une coopération exemplaire dans le traitement des séquelles de la guerre
L’année 2025 marque le 30e anniversaire de la normalisation des relations bilatérales entre le Vietnam et les États-Unis (1995–2025), ainsi que le 50e anniversaire de la fin de la guerre du Vietnam (1975–2025). Il s’agit d’une occasion de faire le point sur le chemin parcouru et de renforcer davantage une coopération substantielle, dans laquelle le traitement des séquelles de la guerre constitue l’un des piliers essentiels.