Binh Duong: 4.500 ouvriers participent à une course à pied

Environ 4.500 ouvriers du secteur du textile-habillement de zones industrielles (ZI) de Binh Duong, de villes et provinces du Sud ont participé dimanche à une "course à pied pour la santé et la sécurité du travail".
Environ 4.500ouvriers du secteur du textile-habillement de zones industrielles (ZI)de Binh Duong, de villes et provinces du Sud ont participé dimanche àune "course à pied pour la santé et la sécurité du travail".

Co-organisée par l'Organisation internationale du Travail (OIT) et lacompagnie internationale des Finances (OIF), la course à pied BetterWork Vietnam visait à rehausser les connaissances sur la santé et lasécurité du travail.

Actuellement, au Sud, les secteursdu textile-habillement et de la chaussure emploient plus de 430.000travailleurs dont 80% de femmes. Ils souffrent souvent des maladiesrespiratoires, de diarrhée, etc. Dans ce contexte, le programme de soinsde santé et d'amélioration de la sécurité du travail est nécessaire envue d'améliorer la santé des ouvriers des ZI, en particulier dessecteurs du textile et de la chaussure. -VNA

Voir plus

L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.