Aide allemande pour les victimes de l'agent orange

L'Association des victimes de l'agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA) a reçu une aide financière de l'Association caritative Allemagne-Vietnam pour la construction d'un centre de soins, de réadaptation fonctionnelle et de formation professionnelle pour les victimes vietnamiennes.
L'Association desvictimes de l'agent orange/dioxine du Vietnam (VAVA) a reçu une aidefinancière de l'Association caritative Allemagne-Vietnam pour laconstruction d'un centre de soins, de réadaptation fonctionnelle et deformation professionnelle pour les victimes vietnamiennes.

Cet ouvrage nécessite un investissement total de 300 milliards dedôngs, soit près de 15 millions de dollars. A ce jour, il a bénéficié desoutiens à hauteur de 47 milliards de dôngs (environ 2,2 millions dedollars) mobilisés par des organisations et particuliers au sein commeen dehors du pays.

Le général de corps d'armée NguyenVan Ring, président de la VAVA, a vivement souhaité que l'Associationcaritative Allemagne-Vietnam continue de soutenir le projet en question,notamment la construction d'une école de formation professionnelle enfaveur des victimes de ce défoliant toxique, mais aussi qu'elle serve de"passerrelle" entre la VAVA et des donateurs d'Allemagne et du mondeentier.

Fondée en 1995, l'Association caritativeAllemagne-Vietnam a organisé, sous la houlette du professeur Nguyen XuanTrang, de nombreuses activités philanthropiques au Vietnam. Elle aremis des cadeaux et des bourses d'études d'une valeur de près de500.000 euros à des élèves démunis dans plusieurs localitésvietnamiennes. En 2014, elle a remis une enveloppe de 7.300 euros à desvictimes de l'agent orange. -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.