Les jeunes vietnamiens et laotiensdoivent cultiver continuellement l'idéal révolutionnaire et faire deleur mieux en tous domaines afin d'être digne d'un appui confiant desdeux Partis et des deux Etats.
C'est ce qu'a souligné Nguyen Dac Vinh, premier secrétaire du Comitécentral (CC) de l'Union de la jeunesse communiste Ho Chi Minh, enrencontrant le 12 janvier à Vientiane Bounpon Buttanavong, membre duBureau politique et secrétaire du CC du Parti populaire révolutionairedu Laos (PPRL).
A cette occasion, Nguyen Dac Vinh l'ainformé des résultats de son entretien avec la délégation du CC del'Union de la jeunesse populaire révolutionnaire du Laos.
En cette nouvelle période, les unions de la jeunesse des deux paysdevraient échanger plus activement leurs expériences en matièred'organisation, de tâches au regard de la jeunesse, et plusparticulièrement de celle vivant dans les localités frontalières desdeux pays. Les deux parties doivent aussi aider les jeunesentrepreneurs à renforcer leur coopération dans l'investissement, ainsique déclencher plusieurs mouvements nécessaires en vue de contribuer àcultiver les relations spéciales Vietnam-Laos.
BounponButtanavong a vivement apprécié la coopération entre les unions de lajeunesse des deux pays lors de ces derniers temps, avant de seféliciter de l'accord de coopération pour la période 2012-2017 signépar les CC des unions de la jeunesse des deux pays.
Il adéclaré que le PPRL s'intéresse particulièrement et crée toutes lesconditions favorables à l'Union de la jeunesse, souhaitant que dansl'avenir, les unions des deux pays renforcent leur coopération,notamment en 2012 qui est l'année d'amitié et de solidaritéVietnam-Laos, et soutiennent la population, notamment celle vivant dansles zones lointaines et reculées. -AVI
📝 Édito: La liberté d’expression et de la presse n’est pas un prétexte pour saboter la nation ou semer la haine
Du point de vue du droit international et du droit vietnamien, il est essentiel de reconnaître clairement que les actes commis par des individus tels que Lê Trung Khoa et Nguyên Van Dài ne relèvent pas du champ d’application de la liberté d’expression ni de la liberté de la presse.