Lacoopération bilatérale dans ces secteurs a notablement progressé,contribuant au développement socioéconomique des deux pays, a estimé leministre conseiller chargé du commerce de l'ambassade du Vietnam, M.Nguyen Trung Dung.
Les entreprises japonaises disposentdes potentiels pour renforcer leur investissement dans l'agriculture etl'aquaculture du Vietnam, outre des secteurs plus traditionnels commel'industrie et le commerce. C'est une coopération prometteuse pour lesdeux pays, a-t-il souligné.
Présent au forum, ledirecteur général de VEGETEXCO Vietnam, M. Nguyen Thanh Binh, a faitsavoir que certains fruits vietnamiens comme la mangue, le durian, lepamplemousse, le fruit du dragon... sont bien appréciés sur le marchéjaponais, marché dont les critères de qualité des produits sontparticulièrement élevés. Ainsi, en 2013, le Vietnam y a exporté 1.000tonnes de fruits du dragon, a-t-il rappelé.
Partageantdes expériences dans ce domaine, le représentant de la société Yasaka,présente au Vietnam depuis une vingtaine d'années, a soulignél'importance du transfert des technologies japonaises en matière deconservation des fruits et des produits agricoles. C'est selon lui unfacteur décisif afin que les fruits du Vietnam domine le marchéjaponais, a-t-il affirmé.
Mme To Thi Tuong Lan,secrétaire général adjoint de l'Association des producteurs et desexportateurs des produits aquatiques du Vietnam (VASEP), a souligné lesopportunités comme défis dans le commerce Vietnam-Japon en matièred'aquaculture. En 2012, le Japon était le 3e exportateur de produitsaquatiques au Vietnam, tandis que ce dernier se classait huitième dansla liste des fournisseurs de ces produits au Japon, selon elle . -VNA
Les exportations agro-sylvico-aquatiques en passe d'atteindre un record historique de près de 70 milliards de dollars
Dans un contexte économique mondial marqué par de fortes incertitudes, les exportations vietnamiennes de produits agricoles, sylvicoles et aquatiques ont établi en 2025 un nouveau record historique, avec un chiffre d’affaires attendu de près de 70 milliards de dollars, illustrant une transition nette d’un modèle de croissance fondé sur les volumes vers une croissance axée sur la valeur, la qualité et l’adaptabilité des filières clés.