Typhon Yagi : L'Indonésie fera don d'un million de dollars au Vietnam

Le ministre indonésien coordonnateur pour le développement humain et la culture Muhadjir Effendy a déclaré le 8 octobre que le ministère indonésien des Finances allouerait un million de dollars pour aider le Vietnam à surmonter les dégâts causés par le typhon Yagi survenu en septembre dernier.

Photo : VNA
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Jakarta (VNA) - Le ministre indonésien coordonnateur pour le développement humain et la culture Muhadjir Effendy a déclaré le 8 octobre que le ministère indonésien des Finances allouerait un million de dollars pour aider le Vietnam à surmonter les dégâts causés par le typhon Yagi survenu en septembre dernier.

En outre, le gouvernement indonésien utilisera les fonds gérés par l'Agence nationale d'atténuation des catastrophes (BNPB) d’Indonésie pour fournir une aide d'un million de dollars au Yémen, au Soudan et à la Palestine. La fourniture du soutien à ces quatre pays devrait avoir lieu le 14 octobre.

Selon le ministère vietnamien de l'Agriculture et du Développement rural, au 15 septembre, le typhon Yagi et les pluies torrentielles, inondations et glissements de terrain qui ont suivi ont fait plus de 300 morts et disparus. Ils ont endommagé des centaines de maisons, plus de 190 000 ha de rizières, près de 48 000 ha d'autres cultures. Plus de 2,6 millions de volailles et de bétail ont également été tués.

Les pertes matérielles sont estimées à environ 40 000 milliards de dongs (plus de 1,6 milliard de dollars). - VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.