Traitement des conséquences des engins explosifs

Le ministère du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales et le Fonds des vétérans américains au Vietnam relevant du Centre international (IC-VVAF) ont organisé mercredi à Hanoi un colloque sur l'assistance des victimes des bombes et mines laissées par la guerre.
Le ministère duTravail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales et le Fondsdes vétérans américains au Vietnam relevant du Centre international(IC-VVAF) ont organisé mercredi à Hanoi un colloque sur l'assistance desvictimes des bombes et mines laissées par la guerre.

Depuis 1975, il demeure près de 800.000 tonnes de munitions nonexplosées enfouies dans 6,6 millions de ha de terrains, soit plus de 21 %du territoire. Le pays dénombre à ce jour plus de 40.000 personnestuées et plus de 60.000 blessées par ces engins. Selon une enquête danssix provinces au Centre (Nghe An, Ha Tinh, Quang Binh, Quang Tri, ThuaThien Hue et Quang Ngai), 10.529 personnes ont trouvé la morts et 12.231autres ont été blessées à cause des bombes et mines.

Les participants du colloque ont partagé des expériences dans letraitement des conséquences des bombes et mines, et discuté des mesuresde soutien des victimes vietnamiennes. Selon eux, il est nécessaire desusciter la participation des ministères et branches, de toute lasociété et des organisations internationales et non-gouvernementales àla sensibilisation des populations aux conséquences des engins explosifsau Vietnam, ainsi qu'à l'amélioration des capacités des forces dedéminage et d'assistance en faveur des victimes. -VNA

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Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.