Le tribunal a jugéque l'état d'urgence imposé à Bangkok et ses zones avoisinantes ne peutpas être considéré comme une raison de sévir contre les manifestants.
Toutefois, il a rejeté la demande de l'ancien député démocrate ThawornSaeniam de révoquer le décret sur l'état d'urgence publié le 21 janvierpar le gouvernement intérimaire, après que les manifestants ont menacéd'occuper la capitale en bloquant des carrefours et assiégeant desbureaux du gouvernement.
La décision du tribunal civil aété prise après que des manifestants ont assiégé le 19 février le lieude travail temporaire de la Premier ministre par intérim YingluckShinawatra au ministère de la Défense, lui demandant de démissionner. LaPremier ministre n'y était pas.
Le leader desmanifestants, Suthep Thaugsuban, s'est engagé à porter lesmanifestations à un nouveau niveau, lesquelles cibleront les affairesdes entreprises de la famille Shinawatra.
Pendant cetemps, 182 manifestants arrêtés le 18 février lors d'une opération de lapolice pour reprendre cinq sites de rassemblement dans la capitale ontété libérés. Cependant, les demandes de libération de deux leaders ontété rejetées.
Le 18 février, le Comité anti-corruptionnational de la Thaïlande (NACC) a décidé de poursuivre en justiceYingluck Shinawatra pour négligence dans les politiques d'achat du rizdu gouvernement. Si elle est condamnée, elle devra démissionner. - VNA
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Une conférence ministérielle sur la lutte contre la cybercriminalité et la fraude aux télécommunications a réuni le 14 novembre à Kunming, dans la province chinoise du Yunnan, des représentants de la Chine, du Cambodge, du Laos, du Myanmar, de la Thaïlande et du Vietnam.