Ho Chi Minh-Ville (VNA) - L'organisation britannique Saigon Children’s Charity organise "Le défi des pas virtuels 2020", une course en ligne où les gens du monde entier peuvent suivre leurs pas lorsqu'ils courent, marchent ou font de l'exercice, afin de collecter des fonds pour les enfants et recevoir de vrais prix.
Tous les fonds recueillis iront aux enfants issus de milieux défavorisés au Vietnam, atténuant les problèmes physiques et psychologiques auxquels ils sont confrontés à cause de la pandémie de COVID-19, afin qu'aucun enfant ne soit laissé pour compte durant cette crise.
L'événement aura lieu du 4 au 31 mai.
L'inscription se fait sur irace.vn/races/the-virtual-steps-challenge. Les frais d'inscription sont de 250.000 dongs.
Les participants se fixeront un objectif, de 50.000 à 300.000 pas, à réaliser pendant la durée de la course.
Chaque activité physique, course, marche, exercice ou même travaux ménagers sera suivie par téléphone et sera comptabilisée lorsque les participants se connecteront à leur application Google Fit à leur compte sur iRace.vn, partenaire technologique de Saigon Children pour cet événement.
Fin mai, une fois leur objectif atteint, une vraie médaille ainsi que d'autres prix leur seront envoyés directement par courrier.
Selon l'UNICEF, l'impact socio-économique du COVID-19 est immense et les enfants sont les plus vulnérables.
Lorsque les parents peinent à maintenir leurs moyens de subsistance, des enfants manquent non seulement d'aliments pour se développer correctement, mais certains sont également poussés à aller gagner de l'argent dans la rue où ils sont exposés à de nombreux risques.
C'est la deuxième fois que Saigon Children organise ce défi des pas.
L'événement de l'année dernière s'était concentré sur le thème de l'autisme et avait attiré des milliers de participants en ligne et hors ligne, collectant un peu moins de 200 millions de pas au total et plus de 700 millions de dongs pour des formations sur l'autisme. -CPV/VNA
Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020
L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.
