Les jeunes vietnamiens à Melbourne aux côtés des pauvres

Avec diverses activités organisées depuis décembre 2014 pour mobiliser des fonds en faveur des victimes de l'agent orange, des enfants et personnes âgées au Vietnam, l'Association des étudiants vietnamiens à Melbourne (MOVSA) a recueilli à ce jour plus de 24 millions de dôngs (plus de 1.100 dollars).
Avec diversesactivités organisées depuis décembre 2014 pour mobiliser des fonds enfaveur des victimes de l'agent orange, des enfants et personnes âgées auVietnam, l'Association des étudiants vietnamiens à Melbourne (MOVSA) arecueilli à ce jour plus de 24 millions de dôngs (plus de 1.100dollars).

Cette somme sera utilisée pour offrir descadeaux à 50 victimes de l'agent orange, personnes âgées et enfants endifficultés à Quang Tri. Elle permettra en outre de remettre troisfiltres à eau aux habitants de l'île de Con Co de cette province duCentre.

Selon le président de la MOVSA, Nguyen MinhHoang, il s'agit là du premier programme significatif de son associationde ce début d'année 2015. Bien que les fonds levés soient encoremodestes, ils témoignent des efforts des étudiants vietnamiens àMelbourne pour soutenir leurs concitoyens en difficulté. -VNA

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L’accusé Nguyên Van Dài. Photo diffusée par la VNA

La justice vietnamienne condamne Nguyên Van Dai et Lê Trung Khoa à 17 ans de prison

Ces co-accusés qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrêt émis le 5 décembre 2025 par l’agence de police d’enquête du ministère de la Sécurité publique, sont condamnés pour "production, détention, diffusion ou dissémination d’informations, de documents ayant un contenu opposable à l’État de la République socialiste du Vietnam" en vertu de l’article 117, clause 2 du Code pénal.

Le ministère de la Sécurité publique révèle que près de 40.000 milliards de dôngs (environ 1,6 milliard de dollars américains) ont été perdus depuis 2020 suite à des escroqueries en ligne. Photo d'illustration: vnba.org.vn

Les escroqueries en ligne ont coûté 1,6 milliard de dollars depuis 2020

L’une des méthodes les plus courantes consiste à se faire passer pour des policiers, des fonctionnaires et agents publics de la justice. Les victimes sont contactées par téléphone ou en visioconférence et menacées de poursuites judiciaires, puis incitées à transférer de l’argent pour «vérification» ou pour régler de prétendues affaires.